19 août 2013

Islande : 5 dodos avant le jour J

BagagesLes bagages s’accumulent dans notre chambre. Trois grosses valises pour la soute, deux plus petites qui nous suivront dans l’avion, un sac à dos pour porter Léo lors d’excursions dans les paysages volcaniques islandais, et une poussette pour la ville. J’ai deux listes qui traînent près de mon ordinateur : ce qu’il reste à ajouter à nos bagages et ce qui me reste à faire dans la maison pour accueillir l’ami qui y habitera pendant notre séjour. Dire que nous pourrons à peine nous croiser samedi matin!

Étonnamment, la superbe météo prévue pour cette semaine a facilité la préparation des vêtements : j’ai pu mettre bas, pantalons et chandails à manches longues dans les valises sans crainte de devoir les ressortir avant le départ! Le décalage ne sera pas qu’horaire : nous passerons à une température d’été à un temps d’octobre en quelques heures de vol...

Les professeurs qui étudient les congés parentaux, et tout particulièrement l’implication du père islandais, m’ont déjà contactée : je les rencontre le lendemain de mon arrivée! J’ai aussi mon horaire de cours à l’université : le lundi et le jeudi, j’y serai pour assister aux séances sur la littérature et la société islandaise.

Mais j’ai aussi arpenté les guides touristiques pour préparer une liste des choses à faire, voir et entendre à Reykjavík. Étant donné que nous avons avec nous un enfant de deux ans et demi, nous nous en tiendrons à la région de la capitale et ses environs. Ce qui semble déjà fort intéressant, je vous assure!

De toute façon, je n’avais pas l’intention de tout voir. Parce que pour apprivoiser le pouls d’une ville, il faut aussi avoir des journées pour flâner, décanter les découvertes de la veille... Et vous écrire des billets régulièrement! Le blogue Nomadesse redeviendra donc très actif, j’ai hâte de vous emmener avec moi!

Við sjáumst!
(au revoir)

1 commentaire:

Venise a dit...

OH ! Tu nous amènes ? Eh bien là, j'exulte.

Le lendemain, une rencontre ? Il faut être faite forte. Ça adonne bien, c'est ton cas.

Bon voyage et bon voyage à nous, les sans bagage.